Le trio Suzanne, lauréat du Jazz Migration #7, ouvrira cette soirée avec des folksongs d’un siècle nouveau. Le quartet de Géraldine Laurent vous offrira ensuite un jazz savoureux et addictif.

JAZZ IN ARLES - 26e édition
du 10 au 21 mai 2022
Samedi 21 mai
à 20 heures 30
Chapelle du Méjan
Pierre TEREYGEOL, saxophone
Hélène DURET, clarinettes & voix
Maëlle DESBROSSES, alto & voix
********************************************************
Géraldine LAURENT, saxophone
Paul LAY, piano
Yoni ZELNIK, contrebasse
Donald KONTOMANOU, batterie
Le trio Suzanne, finaliste du Jazz Migration #7, ouvrira cette soirée avec des folksongs d’un siècle nouveau. Le quartet de Géraldine Laurent vous offrira ensuite un jazz savoureux et addictif. Un savant mélange d’alliages qui mettent l’oreille en appétit et stimulent l’envie d’écouter !
Suzanne c’est une voix qui fredonne, murmurant des souvenirs sans âge.
Une voix, instrumentale, scandée, déchirée. C’est l’enfant qui marmonne des mélodies perçues, c’est l’aïeul qui transmet ses mémoires, ce sont ces musiciennes et musiciens qui écrivent, jouent et chantent tout ce qui leur a été donné d’entendre.
Suzanne, c’est cette voix qui unit Maëlle Desbrosses, Hélène Duret et Pierre Tereygeol autour de folksongs d’un siècle nouveau.
La musique du groupe, par un bel hasard, porte en elle cette mélancolie folk qui vient s’unir à une écriture qui ne laisse rien au hasard, émanation du début du XXème siècle.
Suzanne, c’est ces trois voix qui apparaissent et disparaissent, donnant vie à une musique aux multiples visages.
Concert proposé dans le cadre de Jazz Migration, dispositif d’accompagnement de musicien.ne.s émergent.e.s de jazz et musiques improvisées porté par AJC, avec le soutien du Ministère de la Culture, la fondation BNP Paribas, la SACEM, l’ADAMI, la SPEDIDAM, le CNM, la SCPP, la SPPF, et l’Institut Français.
***
Enchantée d’”En Chantier” (At Work, 2015), la saxophoniste Géraldine Laurent reconduit son quartet acoustique et son producteur Laurent De Wilde dans leurs fonctions pour Cooking. Hommage au Cookin’ de Miles Davis (1956), ou métaphore sur la préparation d’un plaisir éphémère à l’aide du piano et de la batterie de cuisine? Les nouvelles compositions, à l’esthétique “classique” au sens d’avant-gardisme qui a fait florès, questionnent sur l’improvisation en tant que relation complexe avec l’inconscient, lâcher prise scientifique et littéraire, rapport social avec les collègues…
À voir aussi
Voir tous les événements